Le cef de file des neo-cons...
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Robert Kagan, né le 26 septembre 1958 à Athènes, est un politologue américain, diplômé de Yale et de la Kennedy School of Government d'Harvard et docteur en histoire américaine de l'American University. Il est le chef de file des néo-conservateurs et confondateur avec William Kristol du think tank Project for the New American Century (PNAC). Il est membre du Council on Foreign Relations.
Il est à l'orgine de la lettre du 26 janvier 1998 envoyée à Bill Clinton pour lui demander de mener une autre politique en Irak consistant à renverser Saddam Hussein pour préserver les intérêts américains dans le Golfe[1].
Kagan fut en 1983 le conseiller en politique étrangère du républicain Jack Kemp et l'auteur des discours du secrétaire d'État George Shultz en 1984-1985, dans l'administration de Ronald Reagan.
Il est expert au Carnegie Endowment for International Peace[2] et au German Marshall Fund of the United States[3].
Kagan est un éditorialiste occasionnel du New Republic, de Policy Review, du Washington Post, et du journal néo-conservateur Weekly Standard.
Analyste néo-conservateur en politique étrangère, Robert Kagan vit aujourd'hui à Bruxelles avec sa famille. Il est peut-être plus connu en Europe et en France qu'aux États-Unis.
Notes et références [modifier]
Cela ne devrait pas étonner grand monde quand on sait que le conseiller principal de McCain est Robert Kagan, l’un des néo-conservateurs à l’origine du Projet pour un nouveau siècle américain (PNAC) et que sa femme est Victoria Nuland, l’ambassadrice américaine auprès de l’OTAN à Bruxelles, qui ne cesse d’inciter la France à envoyer plus de troupes dans ce que nos militaires appellent le « merdier ingérable » d’Afghanistan.
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