La chute du dollar est proche
« La
meilleure façon de détruire le système capitaliste est de s'attaquer à
sa monnaie. Par des procédés constants d'inflation, les gouvernements
peuvent confisquer d'une façon secrète et inaperçue une part notable de
la richesse de leurs citoyens. »
John Maynard Keynes (1883-1946)
Sinon, ma conviction a ce jour:
La seconde etape de la desintegration du systeme financier est l'effondrement accele du dollar dans les semaines a venir. L'effondrement financier, de la monnaire et de l'immobilier, va engendrer progressivement des troubles sociaux aux usa avant la fin de l'annee. Ce bouleversement majeur est tragique dans la mesure ou les ressources sont concentrees sur les elections americaines des 2 camps.
Le président Bush a signé en mai 2007 une ordonnance attribuant à l’exécutif des pouvoirs exceptionnels en cas de troubles majeurs, .....la Directive Présidentielle sur la Sécurité Nationale 51...instaurant la loi martiale...
Voici un extrait:
En mai 2007, Bush a promulgué une importante directive présidentielle de Sécurité Nationale (National Security and Homeland Security Presidential Directive NSPD 51/HSPD 20), qui suspendrait le gouvernement constitutionnel et installerait des pouvoirs dictatoriaux étendus sous loi martiale dans le cas d'une « urgence catastrophique » (par exemple un deuxième attentat du type 11 septembre).
voir le detail de la directive 51 en francais
voir la directive depuis le site web de la maison blanche en anglais
que va t'il se passer en 2008 aux USA, franchement ???
Ce sera difficile de la savoir par la 'presse'
" La presse libre n'existe pas. Vous, chers
amis, le savez bien, moi je le sais aussi. Aucun de vous n'oserait
donner son avis personnel ouvertement. Nous sommes les pantins qui
sautent et qui dansent quand ils tirent sur les fils. Notre savoir
faire, nos capacités et notre vie même leur appartiennent. Nous sommes
les outils et les laquais des puissances financières derrière nous.
Nous ne sommes rien d'autre que des intellectuels prostitués ".
John Swaiton, l'éditeur du New York Times, lors de son discours d'adieu.