Dossier Le 11 septembre, à la loupe
Rien a voir avec l'immobilier, mais toujours le côté troublant sur le 11 septembre
Mai 2007 Mise a jour
Des questions sans réponses
Plus de cinq ans plus tard, de nombreuses questions demeurent toujours sans réponse valable. À titre d’exemples :
Comment
expliquer que, le 11 Septembre, trois gratte-ciel à charpente d’acier
aient été totalement rasés en quelques secondes par des incendies ayant
duré moins de deux heures. Un tel phénomène ne s’est jamais produit ni
avant, ni depuis. Comment expliquer qu’ils se soient effondrés à la
vitesse d’un corps en chute libre et de façon parfaitement symétrique ?
Parce que ce jour-là, les lois de la physique (conservation de
l’énergie, gravitation universelle, etc.) ont cessé de s’appliquer ou
parce que les trois tours ont été volontairement démolies ? Pourquoi
l’acier des trois tours a-t-il été si rapidement enlevé et envoyé
outre-mer pour y être fondu ? La loi interdit pourtant de détruire les
éléments de preuve sur les lieux d’un crime.
Qu’est-ce
qui s’est écrasé sur le Pentagone, ce même matin du 11 septembre 2001 ?
Selon la version officielle, il s’agit d’un Boeing 757 assurant le vol
77 d’American Airlines. Or, un examen sommaire des photos soulève de
sérieux doutes, vu l’absence de débris. Le major général américain à la
retraite Albert Stubblebine déclare : « Une de mes affectations dans
l’armée fut d’être responsable de l’interprétation de l’imagerie
militaire pour fins de renseignements, durant la Guerre froide. Je
mesurais du matériel soviétique à partir de photos. C’était mon job. Je
regarde le trou dans le Pentagone et je regarde la taille de l’avion
qui s’y est supposément écrasé, et je me dis que cet avion ne peut pas
tenir dans ce trou. Alors, qu’est-ce qui s’est écrasé sur le Pentagone
? Que s’est-il passé ? »
Pourquoi
ce jour-là — et seulement ce jour-là — l’aviation américaine est-elle
restée pratiquement clouée au sol et ne s’est-elle pas lancée à la
poursuite des avions détournés, le tout en contravention des procédures
habituelles en pareil cas ? Incompétence ou geste délibéré du
vice-président Cheney ?
Comment
expliquer que le 11 septembre 2001 au matin, les militaires américains
ont tenu au moins cinq exercices, dont certains devaient simuler des
détournements d’avions. Ces exercices ont eu pour effet d’ajouter à la
confusion et vraisemblablement d’empêcher les autorités de l’aviation
civile de jouer convenablement leur rôle. S’agit-il vraiment d’une
coïncidence ? Est-ce là la raison de l’inaction de l’aviation militaire
?
Pourquoi les États-Unis ont-ils ignoré les avertissements en provenance de leurs alliés, quant aux attentats du 11 Septembre ?
Pourquoi
les Américains ont-ils refusé d’arrêter Ben Laden, au cours des mois
précédant septembre 2001, alors que de certains pays étaient disposés à
le leur livrer ? Pourquoi l’ont-ils sciemment laissé s’échapper, en
octobre 2001, alors qu.ils savaient exactement où il se trouvait ?
Parce que Ben Laden est plus utile s’il peut encore être montré comme
une menace ? Ou parce qu’il entretient toujours des liens avec la CIA ?
Pourquoi
des agents du FBI ont-ils reçu l’ordre formel de ne pas enquêter sur
Ben Laden, avant les attentats ? Pourquoi le FBI ne considère-t-il pas
Ben Laden comme un suspect, relativement aux événements du 11 Septembre
? Réponse : de l’aveu même du FBI, aucun élément de preuve ne permet de
relier Ben Laden à ces attentats.
Pourquoi,
dans les semaines précédant les attentats, des spéculateurs ont-ils
massivement vendu à découvert des actions des principales entreprises
affectées par ceux-ci, telles American Airlines et United Airlines, ce
qui leur a permis de faire des gains de dizaines de millions de dollars
? La Commission d’enquête note que les activités boursières sur ces
titres apparaissent louches, vu leur volume anormalement élevé, mais
conclut que rien ne permet d’affirmer qu’Al Qaida a pu en tirer profit.
En d’autres mots, la version officielle dicte la conclusion de la
Commission.
Comment
expliquer que les débris de l’avion du vol 93, qui se serait
supposément écrasé grâce à l’action héroïque de ses passagers, soient
dispersés sur des kilomètres carrés et que rien n’est visible sur le
prétendu lieu de l’écrasement ? Est-ce parce que cet appareil a en fait
été abattu par l’aviation militaire américaine ?
Comment
expliquer l’absence des présumés pirates sur les listes officielles de
passagers des vols du 11 Septembre ? Comment expliquer que, selon la
BBC, au moins cinq d’entre eux seraient toujours vivants ? Comment
expliquer les liens de ces présumés terroristes avec le FBI et la CIA.
Est-il
plausible que le passeport d’un des supposés pirates ait
miraculeusement échappé à la destruction et ait été retrouvé sur le
trottoir, le jour même ? Est-il plausible que dans les heures qui ont
suivi les attentats on ait trouvé des voitures louées par ces supposés
pirates, avec à leur bord des manuels de pilotage en arabe et des
exemplaires du Coran ? (En passant, n’est-il pas étonnant que les
terroristes laissent toujours traîner un exemplaire du Coran,
lorsqu’ils font leurs attentats, comme à Londres ou à Madrid ?).
Il
est capital de savoir la vérité sur les attentats du 11 Septembre
puisque ceux-ci ont servi de justification à la guerre en Afghanistan
et à l’invasion de l’Iraq. Or, les faits suivants permettent de jeter
un éclairage différent sur ces événements et indiquent clairement que
cette guerre était en préparation depuis de nombreuses années.
Après
des mois de recherches sérieuses sur la question, j’en suis venu à la
conclusion que les nombreux universitaires réunis au sein du mouvement
Scholars for 9/11 Truth ont raison d’affirmer que, parmi toutes les
explications possibles à l’effondrement des trois tours du WTC, la
version officielle constitue de loin la moins plausible. Tout comme le
font, entre autres, Andreas Von Bulow, ancien ministre et secrétaire
d'État à la Défense allemand et Robert Bowman, colonel de l’US Air
Force à la retraite et ancien administrateur de l’Advanced Space
Programs Development, du ministère américain de la Défense, responsable
du tristement célèbre programme militaire « Star Wars ». Et tout le
reste découle de l’écroulement de ces tours.
Quelques liens
Trois rappeurs US dénoncent l’imposture du 11 septembre
Brzezinski confirme que les États-Unis peuvent organiser des attentats sur leur propre territoire